Dès 1930, le château de Lovie (à Poperinghe, à l’ouest d’Ypres) servait de sanatorium. Chaque année, il accueillait et soignait 500 personnes affectées par ce que l’on appelait à l’époque la « peste blanche ». Trente ans plus tard, seuls 18 patients y étaient encore pris en charge. Le sanatorium a fermé, pour laisser place à un lieu de création de valeur sociale.